Christine Lagarde a esquissé les grandes lignes de sa future présidence devant le Parlement européen. Critiques et conseilleurs l’attendent de pied ferme.

En prenant ses fonctions le 1er novembre prochain, Christine Lagarde sera la quatrième présidente de la jeune Banque Centrale Européenne, et elle portera déjà le poids d’un héritage bien lourd, marqué par une crise quasi existentielle pour sa monnaie, un soupçon permanent d’illégitimité, quelques faux pas aussi et un environnement de taux d’intérêt négatifs, totalement inédit.

La politique monétaire ne peut pas tout. Ce n’est pas «the only game in town»…. Le projet d’union bancaire et des marchés de capitaux est au milieu du gué depuis 2012.

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