Après plusieurs semaines de mise sous cloche, les conditions et l’organisation du retour à la normale restent à préciser et ne seront pas sans risque.

Quand donc reverrai-je mon coiffeur? Cette exclamation oh ! combien futile illustre pourtant, à bien des égards, le temps de la privation de mouvement et l’impact de la pandémie sur la vie économique ordinaire. Après un mois de confinement effectif, plus ou moins strict, si l’on pas été atteint par la maladie et que nos proches sont sains et saufs, l’impatience gagne, la fébrilité également.

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