De Santiago à Beyrouth, les capitales s’enflamment. La fureur populaire s’en prend à une mauvaise gestion de l’économie.

La comparaison aux «gilets jaunes1» fait flores un peu partout cet automne. Plusieurs pays connaissent des mouvements de protestations qui mobilisent des foules considérables. Comme le prix du pain autrefois, le mécontentement concerne l’augmentation des prix de produits ou services considérés comme de première nécessité : tickets de métro ici, messageries instantanées là, prix des carburants ailleurs….

Le vent de la croissance globale a, dans bien des cas, négligé l’amélioration des infrastructures et des services publics….s’il reste bien des marges d’amélioration, elles doivent surtout s’accompagner de mesures privilégiant l’accès à l’éducation et à la santé pour le plus grand nombre…

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